Joshua Weilerstein est le directeur artistique de l’Orchestre de Chambre de Lausanne. Il mène également une carrière florissante de chef d’orchestre invité dans toute l’Europe et aux États-Unis et est connu pour sa clarté d’expression musicale, son enthousiasme sans limite et son profond sens de la musique. Son enthousiasme pour un large éventail de répertoires se conjugue avec l’ambition d’amener de nouveaux publics dans la salle de concert.
En tant que directeur artistique de l’Orchestre de Chambre de Lausanne (OCL), Weilerstein a apporté une nouvelle perspective de programmation à l’orchestre, en interprétant une œuvre contemporaine ou rarement entendue lors de chacun de ses concerts d’abonnement, parallèlement au répertoire classique de base. L’OCL commande régulièrement de nouvelles œuvres et a lancé une série d’initiatives communautaires qui ont permis d’élargir le public tout en fidélisant les abonnés. L’orchestre a également publié un enregistrement entièrement consacré à Stravinski, salué par la critique, sous la direction de Weilerstein, et a effectué une tournée dans les principales capitales musicales d’Europe.
Joshua Weilerstein croit passionnément à la programmation du répertoire traditionnel et contemporain et, dans la mesure du possible, présente une pièce d’un compositeur vivant à chacun de ses concerts. Il anime un podcast de musique classique à succès, Sticky Notes, pour les amateurs de musique et les nouveaux venus. Cela reflète son intérêt pour l’éducation musicale et sa volonté de toucher un public aussi large que possible. En sa qualité de directeur artistique de l’Orchestre de Chambre de Lausanne, Weilerstein encourage et s’engage à participer à la série de concerts éducatifs et Découvertes pour les enfants et les familles. Lorsqu’il était chef assistant de l’Orchestre philharmonique de New York, Weilerstein a participé activement aux concerts pour les jeunes de l’orchestre. En août 2018, il a dirigé un programme spécialement conçu, « The Sound of an Orchestra », pour les BBC Proms, qui s’inspirait des présentations télévisées de Leonard Bernstein à New York et les retravaillait, et qui a été décrit (Bachtrack) comme « … un voyage musical exaltant à travers trois siècles de musique orchestrale pour essayer d’étudier « le son d’un orchestre ».