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Alexandra Conunova remporte en 2012 le Premier Prix du célèbre Concours International de violon Joseph Joachim à Hanovre : un jury unanime, impressionné par sa technique et sa musicalité, salue sa virtuosité. En 2015, récompensée en janvier au Concours International de Singapour, elle accède en juin à la finale du prestigieux concours Tchaïkovski à Moscou où elle obtient le Troisième Prix (le Premier Prix n’a pas été décerné), avant de remporter la Borletti-Buittoni Fellowship à Londres en 2016.
Dès lors, Alexandra s’impose comme une soliste de premier plan et joue avec les grands orchestres, dont le Mahler Chamber Orchestra, Orchestra de la Svizzera Italiana, NDR Hannover, Radio Saarbrück, Mariinski Orchestra, Camerata Bern, Orchestre du Teatro Regio de Turin, Orchestre de Seville, Orchestre de Toulouse, Orchestre de Chambre de Stuttgart et celui de Vienne, sous la baguette de Valery Gergiev, Theodor Curentzis, John Axelrod, Vladmir Spivakov, G. Noseda, tournée au Japon avec le Philharmonique de Moscou et Yuri Simonov, récemment tournée avec l’Insula Orchestra et Laurence Equilbey (Budapest, Aix, Paris, Londres).
Alexandra se produit dans les festivals de Verbier, Montreux Septembre Musical, Gstaad, BBC Londres, Ferrara Musica, Accademia Santa Cecilia Roma, Hamburg Martha Argerich Festival, Bonn, Colmar, Menton, Radio France Montpellier, Aix-en – Provence Festival de Pâques, les Folles Journées de Nantes et de Tokyo … et en musique de chambre collabore avec Michail Lifits, Renaud Capuçon, Edgar Moreau, David Kadouch, Andreas Ottensamer, Gérard Caussé, Boris Brovtsyn, Jean Rondeau…
Nommée « Maître ès Arts » par le Président de la République de Moldavie, son pays natal, elle fonde l’organisation caritative « ArtaVie » qui a pour but d’aider les familles défavorisées et les enfants de son ancienne école.
Discographie : les sonates pour violon et piano de Prokofiev avec Michail Lifits chez Aparté et le Triple de Beethoven chez Erato avec Insula Orchestra et Laurence Equilbey.
Alexandra joue actuellement un « del Gesu » ca.1730 « von Vecsey ».
Les récentes récompenses du violoniste canadien Timothy Chooi comprennent un Deuxième Prix au Concours Reine Elisabeth de 2019. En 2018, il décroche le Premier Prix à la Joseph Joachim International Violin Competition de Hanovre et se voit décerner le Prix Yves Paternot de l’artiste le plus prometteur et accompli de la Verbier Festival Academy, conduisant à ses débuts solistes au Festival 2022. Au cours de la saison 2021/22, il joue à nouveau avec le Toronto Symphony Orchestra, fait ses premiers pas au Concertgebouw avec l’orchestre Phion, et rencontre le Deutsches Symphonie-Orchester Berlin. Chooi suit l’enseignement de Catherine Cho dans le cadre du Juilliard’s Artist Diploma Program, et de Christian Tetzlaff à la Kronberg Academy (Professional Studies). Il est professeur de violon à l’University of Ottawa et joue un Stradivarius Windsor-Weinstein de 1717, prêté par le Canada Council for the Arts.
« Avec Barenboïm, tout sonne avec facilité, ses interprétations débordent de vie et de drame » – Gramophone
S’il cultive le grand répertoire classique et romantique, Michael Barenboïm est tout aussi reconnu pour ses interprétations de la musique des XXe et XXIe siècles. Il s’est souvent produit avec Pierre Boulez, dont il joue les œuvres en récital et avec l’Ensemble Boulez. En plus de ses concerts avec de grands orchestres tel que le Philharmonique de Vienne avec son père, Daniel Barenboïm, il se produit régulièrement avec sa mère, la pianiste Elena Bashkirova, et avec Frans Helmerson, Denis Kozhukhin, András Schiff, et Martha Argerich, entre autres. Premier violon solo de l’Orchestre du West Eastern Divan, il consacre aussi beaucoup d’énergie à l’enseignement, donnant des masterclasses dans le monde entier. Il est en outre professeur de violon et de musique de chambre à l’Académie Barenboïm-Saïd.
Lauréat du prestigieux Concours Carl Nielsen en 2019, le violoniste suédo-norvégien Johan Dalene « n’est pas seulement un virtuose parmi tant d’autres, il est une voix. Il a un ton, une présence » (Diapason). À 24 ans, il s’est produit avec des orchestres majeurs et dans des salles de récital renommées en Suède et à l’étranger. Sa capacité à « faire chanter son Stradivarius comme un maître » (Le Monde), alliée à une musicalité sincère et un lien authentique avec les musiciens et le public, lui a valu de nombreux admirateurs. En 2022, il a été nommé Jeune Artiste de l’Année par Gramophone.
Après des résidences simultanées avec le Royal Liverpool Philharmonic Orchestra et le Gävle Symphony, Johan entame une nouvelle collaboration avec le Royal Philharmonic Orchestra, travaillant avec des chefs d’orchestre tels qu’Antonello Manacorda et Robert Trevino. Défenseur de la musique contemporaine, il continue d’interpréter le concerto écrit pour lui par Tebogo Monnakgotla, notamment avec le Berlin Radio Symphony et Giedrė Šlekytė, après avoir donné la première mondiale avec le Royal Stockholm Philharmonic et John Storgårds en avril 2023.
Parmi les faits marquants récents et à venir, on compte ses débuts avec le Minnesota Orchestra sous la direction de Thomas Søndergård, le Gewandhaus de Leipzig avec Sakari Oramo, et le San Francisco Symphony avec Esa-Pekka Salonen ; ainsi que ses retours au sein du Bergen Philharmonic, de l’Orchestre de la Radio Suédoise, du London Philharmonic et de l’Orchestre Philharmonique de Varsovie.
Passionné de musique de chambre, Johan reviendra en Amérique du Nord pour donner des récitals, notamment dans le cadre des Vancouver Recital Series, de San Francisco Performances et du Gardner Museum de Boston, ainsi que pour sa première tournée en Australie. Il fait également des apparitions au Verbier et Rosendal Festivals, ainsi qu’au Wigmore Hall de Londres, où il est désormais un invité régulier.
Enregistrant exclusivement pour BIS, Johan a sorti en octobre 2023 son quatrième album, un disque de récital comprenant la Sonate de Ravel et la Deuxième Sonate de Prokofiev, ainsi que des pièces courtes d’Arvo Pärt, Lili Boulanger et Grażyna Bacewicz. The Strad a salué cet album comme « intéressant par son répertoire et merveilleux par sa qualité. »
Son enregistrement précédent comportait les concertos de Nielsen et Sibelius avec le Royal Stockholm Philharmonic dirigé par John Storgårds. Cet album lui a valu sa troisième distinction « Editor’s Choice » du magazine Gramophone, ainsi qu’un prestigieux Grammis Award suédois.
Johan a commencé le violon à l’âge de quatre ans et a fait ses débuts en concerto professionnel trois ans plus tard. En été 2016, il a été étudiant résident au Festival de Verbier en Suisse (où il a fait ses débuts en 2021), et en 2018, il a intégré le programme Crescendo en Norvège, où il a travaillé étroitement avec des mentors comme Janine Jansen, Leif Ove Andsnes et Gidon Kremer. Andsnes l’a ensuite invité au Rosendal Chamber Music Festival, et ils ont rejoué ensemble en mai 2019 au Bergen International Festival. En 2019, il a rejoint Janine Jansen et d’autres membres du programme Crescendo pour une performance au Wigmore Hall à Londres, et au Festival international de musique de chambre d’Utrecht.
Johan a étudié avec Per Enoksson, professeur au Royal College of Music de Stockholm, ainsi qu’avec Janine Jansen. Il a également suivi des masterclasses avec plusieurs enseignants éminents, dont Dora Schwarzberg, Pamela Frank, Gerhard Schulz et Henning Kraggerud. Il a reçu plusieurs bourses et prix, notamment de l’Académie royale de musique de Suède, de la Bourse Anders Wall Giresta, de la Bourse d’honneur de la reine Ingrid, du Prix de la Fondation Håkan Mogren, de l’Equinor Classical Music Award, du Prix des Solistes Norvégiens, du Sixten Gemzéus Stora Musikstipendium, du Prix culturel Expressen Spelmannen, et du Rolf Wirténs Kulturpris.
Johan joue sur le Stradivarius « Duke of Cambridge » de 1725, généreusement prêté par la fondation caritative d’Anders Sveaas.
Augustin Hadelich is one of the great violinists of our time. Known for his phenomenal technique, insightful and persuasive interpretations and ravishing tone, he tours extensively around the world. He has performed with all the major American orchestras as well as the Berliner Philharmoniker, Concertgebouworkest, Orchestre National de France, London Philharmonic Orchestra, Seoul Philharmonic Orchestra, NHK Symphony Orchestra Tokyo, and many others.
Augustin Hadelich’s engagements in the 2022/23 season include concerts with the Boston Symphony Orchestra, The Philadelphia Orchestra, and the symphony orchestras of Atlanta, Baltimore, Cincinnati, Detroit, Houston, Pittsburgh, Seattle and Toronto. He performs with the Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks, Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin, Wiener Symphoniker, London Philharmonic Orchestra, Antwerp Symphony Orchestra, Danish National Symphony Orchestra, São Paulo Symphony and Sydney Symphony Orchestra. As this season’s Artist-in-Residence of the WDR Sinfonieorchester Köln, Augustin Hadelich began the season by joining the orchestra on a summer festival tour to London, Hamburg, Amsterdam and Bonn, in addition to other festival appearances in Aspen, Lucerne and Salzburg. He returns to the NDR Elbphilharmonie Orchestra in Hamburg as its Associate Artist, and performs on tour with the Bergen Philharmonic Orchestra and Orchestre symphonique de Montréal. In June 2023, he will join the Lucerne Symphony Orchestra on a concert tour to South Korea.
Augustin Hadelich is the winner of a 2016 GRAMMY Award – “Best Classical Instrumental Solo” – for his recording of Dutilleux’s Violin Concerto, L’Arbre des songes, with the Seattle Symphony and Ludovic Morlot (Seattle Symphony MEDIA). A Warner Classics Artist, his most recent release is “Recuerdos”, a Spain-themed album featuring works by Sarasate, Tarrega, Prokofiev and Britten with the WDR Sinfonieorchester Köln and Cristian Măcelaru. Writing about his GRAMMY-nominated 2021 release of Bach’s Sonatas and Partitas, the Süddeutsche Zeitung, one of Germany’s most prestigious newspapers, boldly stated: “Augustin Hadelich is one of the most exciting violinists in the world. This album is a total success.” Other albums for Warner Classics include Paganini’s 24 Caprices (2018); the Brahms and Ligeti violin concertos with the Norwegian Radio Orchestra under Miguel Harth-Bedoya (2019); and the GRAMMY-nominated “Bohemian Tales”, which includes the Dvořák Violin Concerto with the Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks conducted by Jakub Hrůša (2020).
Augustin Hadelich, now an American and German citizen, was born in Italy, to German parents. He studied with Joel Smirnoff at New York’s Juilliard School. Hadelich made a significant career leap in 2006 when he won the International Violin Competition in Indianapolis. Other distinctions include an Avery Fisher Career Grant (2009); a Borletti-Buitoni Trust Fellowship in the UK (2011); an honorary doctorate from the University of Exeter in the UK (2017); and being voted “Instrumentalist of the Year” by the influential magazine “Musical America” (2018).
Augustin Hadelich is on the violin faculty of the Yale School of Music at Yale University. He plays violin from 1744 by Giuseppe Guarneri del Gesù, known as “Leduc, ex Szeryng”, on loan from the Tarisio Trust.
Gerhard Schulz a étudié avec Franz Samohyl à Vienne, Sándor Végh à Düsseldorf et Shmuel Ashkenasi aux États-Unis. Il a été membre fondateur du Salzburg String Trio, du Schulz Ensemble et premier violon du Düsseldorf String Quartet.
En tant que membre du célèbre Alban Berg Quartet, il a joué régulièrement pendant plus de 30 ans dans les centres musicaux les plus importants du monde. En tant qu’artiste exclusif chez EMI, le quatuor a enregistré une grande partie du répertoire de quatuors à cordes et a reçu de nombreux prix pour son travail. Après que l’Alban Berg Quartet ait mis fin à ses activités de concert à l’été 2008, Gerhard Schulz a fondé le Waldstein Ensemble (Quatuor avec piano). En novembre 2009, il a fait ses débuts en tant que chef d’orchestre avec le Copenhagen Philharmonic Orchestra et continue à apprécier autant la musique sur scène que le travail avec ses étudiants. Depuis 1980, Gerhard Schulz est professeur de violon à l’Université de Musique et des Arts de la Scène de Vienne et, depuis 1993, professeur invité de musique de chambre à la Hochschule für Musik Köln.
Le violoniste hongrois Kristóf Baráti est reconnu dans le monde entier comme un musicien aux qualités extraordinaires, doté d’une vaste palette d’expressions et d’une technique impeccable. En 2014, à l’âge de 35 ans, il a reçu la plus haute récompense culturelle de Hongrie, le Prix Kossuth, suivant ainsi les traces d’illustres artistes hongrois tels qu’András Schiff, György Ligeti et Iván Fischer. Applaudi régulièrement pour la poésie et l’éloquence qu’il apporte à son jeu, il a été décrit comme « un véritable esthète sonore de premier ordre ».
Après avoir passé une grande partie de son enfance au Venezuela, où il a joué comme soliste avec de nombreux orchestres de premier plan, Kristóf Baráti est retourné à Budapest pour étudier à l’Académie de musique Franz Liszt et a ensuite suivi les enseignements d’Eduard Wulfson, lui-même élève de Milstein et Menuhin. Résidant à Budapest, le violoniste se produit régulièrement dans toute la Hongrie et, avec István Vardái, il est Directeur artistique du Festival international de musique de chambre Kaposvár.
Kristóf Baráti joue le Stradivarius « Lady Harmsworth » de 1703, grâce au généreux soutien de la Stradivarius Society of Chicago.
source : https://kristofbarati.com/about/
Originaire de Tel Aviv, le violoniste Guy Braunstein y a étudié avec Chaim Taub, avant de partir à New York pour se former auprès de Glenn Dicterow et Pinchas Zuckerman. Très jeune, il se produit en tant que soliste et musicien de chambre et cumule un large panel de partenaires prestigieux, accompagné des plus grands orchestres et chefs internationaux. En 2000, il devient le plus jeune violon solo du Philharmonique de Berlin, poste qu’il occupe pendant 12 ans avant de le quitter afin de poursuivre sa carrière solo. Artiste en résidence du Trondheim Symphony Orchestra pour la saison 2017/18 puis au Cincinnati Symphony Orchestra pour la saison 2019/20, il développe en parallèle une riche carrière de chef d’orchestre, multipliant les tournées. L’Israélien joue un violon rare de Francesco Roggieri (1679).
Lisa Batiashvili, the Georgian-born German violinist, is praised by audiences and fellow musicians for her virtuosity. An award winning artist, she has developed long-standing relationships with the world’s leading orchestras, conductors and musicians.
Batiashvili is also the Artistic Director of Audi Sommerkonzerte, Ingolstadt. For the 2019 festival – ‘Fantastique’ – she curated a diverse programme featuring artists such as Daniel Harding with Bayerische Rundfunk Sinfonieorchester, Jean-Yves Thibaudet and Gautier Capuçon. For the 2020 festival, Batiashvili designs a programme to celebrate Audi’s anniversary year, as well as Beethoven year 2020 under the motto ‘Lights of Europe’.
Lisa Batiashvili appears with the world’s greatest orchestras, including the Berliner Philharmoniker, London Symphony Orchestra, Wiener Philharmoniker, New York Philharmonic, Royal Concertgebouw Orchestra, Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks, Staatskapelle Dresden, Orchestra dell’Accademia Nazionale di Santa and Boston Symphony Orchestra, among others.
Recording exclusively for Deutsche Grammophon, Batiashvili’s latest album ‘City Lights’ is released in June 2020. The project marks a deeply personal musical journey that takes listeners around the world via eleven pieces that represent the most important cities in Lisa’s life. Her previous recording – ‘Visions of Prokofiev’ (Chamber Orchestra of Europe/Yannick Nezet-Seguin) – won an Opus Klassik Award and was shortlisted for the 2018 Gramophone Awards. Earlier recordings include the concertos of Tchaikovsky and Sibelius (Staatskapelle Berlin/Daniel Barenboim), Brahms (Staatskapelle Dresden/Christian Thielemann), and Shostakovich No. 1 (Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks/Esa-Pekka Salonen).
Batiashvili has had DVD releases of live performances with the Berliner Philharmoniker/Yannick Nézet-Séguin (Bartok Violin Concerto No.1) and with Gautier Capuçon, Sächsische Staatskapelle Dresden and Christian Thielemann (Brahm’s Concerto for Violin and Cello).
She has won a number of awards: the MIDEM Classical Award, the Choc de l’année, the Accademia Musicale Chigiana International Prize, the Schleswig-Holstein Music Festival’s Leonard Bernstein Award and the Beethoven-Ring. Batiashvili was named Musical America’s Instrumentalist of the Year in 2015, was nominated as Gramophone’s Artist of the Year in 2017, and in 2018 was awarded an Honorary Doctorate from the Sibelius Academy (University of Arts, Helsinki).
Lisa lives in Munich and plays a Joseph Guarneri “del Gesu” from 1739, generously loaned by a private collector.
Born in Tokyo and spent her early childhood in Siena, Italy, Sayaka has started studying the violinat age of 5. From 1995 until 2000, she studied at the Accademia Musicale Chigiana under Uto Ughi and Riccardo Brengola. At the age of 13, she went to Germany for a year to study with Saschko Gawriloff. In 1998, she moved to Germany to study at Hochschule für Musik Köln under Zakhar Bron and graduated in 2004.
In 1997, she made her debut at Lucerne Festival and Musikverein in Vienna with Rudolf Baumgartner. Two years later, she took the First Prize at the 1999 Paganini Competition. Zubin Mehta has been her strong supporter. When Shoji auditioned for him in 2000, he immediately changed his schedule in order to make her first recording with the Israel Philharmonic possible in the following month, then invited her to perform with Bavarian State Opera and Los Angeles Philharmonic. Since then many prominent orchestras have invited Shoji, including Berlin Philharmonic, London Symphony Orchestra, Philharmonia Orchestra, New York Philharmonic, Baltimore Symphony, St. Petersburg Philharmonic Orchestra, Orchestra dell’Accademia Nazionale di Santa Cecilia and WDR Symphony Orchestra.
Sayaka appears regularly as a recitalist and chamber musician at festivals such as Verbier, Annecy, Ravenna, Prague Spring, Settimane Musicale di Chigiana, Beethovenfest Bonn and Rencontres Musicales d’Evian. She recently gave a recital debut at London’s Wigmore Hall which included a new commission solo violin work by Toshio Hosokawa. In 2014, She also toured with Menahem Pressler and their collaboration was documented in a live recording. Sayaka and pianist Gianluca Cascioli have completed recording of all Beethoven’s Sonatas for Piano and Violin in 2015.
Sayaka plays the 1729 Recamier Stradivarius – kindly loaned to her by Ueno Fine Chemicals Industry Ltd.