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Chanteuse d’opéra et d’oratorio, elle incarne un héritage mêlant les racines russes des montagnes de l’Oural, à Mednogorsk, et la plaine d’Ukraine, à Melitopol, ville jumelée avec Melito di Napoli, en Italie.
Elle a étudié le chant, le piano et l’accordéon. Son parcours artistique s’est principalement développé en Europe, et plus particulièrement en Italie, pays dont elle est devenue Italienne de cœur.
Amoureuse de l’Italie, elle y réside désormais et y mène des actions de promotion de la musique lyrique et de la culture en général.
Elle est lauréate de nombreux concours, prix et distinctions nationaux et internationaux :
Ekaterina Bakanova est invitée régulière des plus grands opéras internationaux et collabore avec les chefs d’orchestre les plus prestigieux.
Elle a noué une collaboration fructueuse avec l’Orchestre Symphonique National de la RAI, et s’est produite à plusieurs reprises avec les Maestros Fabio Luisi, Steven Mercurio et Juraj Valčuha, ainsi qu’avec l’Ensemble Matheus sous la direction de Jean-Christophe Spinosi, et aux côtés de Plácido Domingo, Myung-Whun Chung, Dan Ettinger, Daniele Rustioni, Nello Santi, Daniele Callegari.
Elle a participé à des productions de metteurs en scène renommés tels que Mario Martone, Franco Zeffirelli, Achim Freyer, Calixto Bieito, Robert Carsen, Henning Brockhaus, Richard Eyre, Hugo de Ana, Renaud Doucet, Andrea de Rosa.
Après ses débuts très remarqués à la Royal Opera House de Londres dans le rôle de Violetta Valéry, la critique a salué la finesse de son interprétation. Depuis, elle est invitée sur les scènes les plus prestigieuses : Staatsoper de Dresde, Arena di Verona, Teatro Real de Madrid, Gran Teatre del Liceu de Barcelone, Royal Opera de Versailles, Israeli Opera à Tel-Aviv, Opernhaus de Zurich, NCPA de Pékin, et bien d’autres.
Johanna Vaude est une artiste pluridisciplinaire, dont l’univers cinématographique et musical se déploie comme une quête perpétuelle de poésie et d’innovations. Ses œuvres, souvent qualifiées de rageuses, poétiques et intenses, explorent les frontières mouvantes entre les genres, fusionnant le visuel et le sonore dans une alchimie narrative unique.
Ses premières projections dans des institutions culturelles et des festivals de courts-métrages ont rapidement attiré l’attention du publique et des critiques, qui ont salué son audace, sa maîtrise des techniques et son art très personnel (focus de son oeuvre au MK2 Beaubourg, Côté Court de Pantin, Forum des images, Commune Image, Cinémathèque Française, Collège des Bernardins, Festival Silhouette, Cabaret Vert,…)
La chaîne Arte consacre un portrait de l’artiste dans son magazine Court-Circuit. S’ensuit l’édition du DVD monographique Hybride par le label Lowave avec le soutien du CNC. Cette notion d’hybridation artistique – une théorie qu’elle définit par les concepts de « Greffe, fusion, hérédité », réflexion sur la relation entre art et science, publiée par la revue scientifique Corps (lire) et étude sur les usages plastiques et techniques de l’image, lui vaut une carte blanche pour des programmations d’avant-garde à la Cinémathèque Française (lire).
Depuis plusieurs années, elle est une invitée régulière de l’émission Blow Up sur Arte tv, qui lui laisse carte blanche pour réaliser, sous forme de montage et de musique, des vidéos en hommage au 7ème Art. Parmi elles, plusieurs ont été remarquées : interviews sur France Culture, plateau média à la Gaîté Lyrique, projection au Ministère des Finances et de l’économie, relayé par le média Nowness comme Super-Edit, articles sur Première, Konbini, Télé Star et Les Inrockuptibles (Tomber amoureux de Scarlett Johansson en 5 minutes /// Cadavre Exquis).
Elle reçoit le Prix Label Image par les Passeurs de Lumière à la SCAM, la consacrant comme « Alchimiste de l’image ».
Des extraits de films de Johanna Vaude sont intégrés à deux installations conceptualisée par l’artiste Dominique Gonzalez-Foerster : L’œil sauvage pour TH.2058 à la Tate Modern de Londres, et Hypnotic pour l’événement Evento à Bordeaux. Sa vidéo I’m more than a machine, fait partie de l’exposition Electro à la Philharmonie de Paris, qui se poursuit au Design Museum de Londres et au Kunstpalast de Düsseldorf.
La plateforme de streaming medici tv, spécialisée dans la musique classique et le jazz, lui donne carte blanche pour une vidéo musicale en hommage au monde de la musique et rappeler l’importance de la culture : « Art is a garanty of sanity ».
Télérama sélectionne Samouraï sur sa plateforme, lui donnant 3 TTT puis 4 TTTT pour signifier leur enthousiasme : « Un montage frénétique autour de l’art du samouraï nous entraine dans la spirale poétique d’une artiste rageuse. »
D’autres médias expriment aussi leur exaltation : Best video Essay 2022 sur Sight and Sound pour Conforme et Au Cinéma !, Best vidéo Essay 2023 sur British Film Institut pour Searching for Incognita et Mind Autopsy.
Sasha Rozhdestvensky est considéré comme l’un des plus grands violonistes russes contemporains. Yehudi Menuhin l’a qualifié de « l’un des violonistes les plus talentueux et raffinés de sa génération ».
Il s’est produit sur les scènes internationales avec de prestigieuses formations telles que le Bayerische Staatsorchester, le Boston Symphony Orchestra, le Chamber Orchestra of Europe, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, le London Symphony Orchestra, le Royal Philharmonic Orchestra, l’Orchestre de La Scala, le Mariinsky Orchestra, les orchestres philharmoniques de Moscou et de Saint-Pétersbourg, le Tonhalle Orchester Zurich, le Sydney Symphony Orchestra, le Yomiuri Nippon Symphony Orchestra, entre autres.
Parmi les chefs avec lesquels il a collaboré figurent Vladimir Ashkenazy, Andrey Boreyko, Jean-Claude Casadesus, Valery Gergiev, Theodor Guschlbauer, Vernon Handley, Vladimir Jurowski, Valery Polyansky, Gennady Rozhdestvensky, Yuri Simonov, Giuseppe Sinopoli, Gerard Schwarz, Christopher Warren-Green…
Sasha a enregistré notamment le Concerto Grosso n°6 d’Alfred Schnittke avec le Royal Stockholm Philharmonic (Chandos). Il a créé cette œuvre, écrite pour lui et Viktoria Postnikova. Il a ensuite enregistré le Concerto pour violon n°1 de Chostakovitch et celui de Glazounov avec Gennady Rozhdestvensky et le State Symphony Capella of Russia (Nimbus). Il a également gravé l’intégrale des œuvres pour violon et piano de Tchaïkovski avec Josiane Marfurt, comprenant la première mondiale de Oh, chante encore (Delos), ainsi que l’intégrale de la musique de chambre pour violon de Ravel avec Josiane Marfurt (Praga Digitals), un enregistrement qui a reçu un Choc de Classica. Il a également enregistré l’intégrale des œuvres pour violon et piano de Chostakovitch avec Jeremy Menuhin pour FHR (Royaume-Uni), des sonates de Miaskovski, Chebaline et Nechaev en première mondiale avec Viktoria Postnikova, et plus récemment, une première mondiale du Deuxième Concerto pour violon de John Mayer avec le BBC National Orchestra of Wales, sous la direction de Debashish Chaudhuri.
Sasha Rozhdestvensky s’est produit dans de nombreux festivals prestigieux tels que les BBC Proms, Tanglewood, Schleswig-Holstein, Gstaad, Colmar, Ravinia, Florida, Lockenhaus, Montreux, Rheingau… Il a joué dans des salles renommées comme le Carnegie Hall, le Royal Albert Hall, le Barbican et les Festival Halls de Londres, le Concertgebouw, la Philharmonie de Berlin, le Suntory Hall à Tokyo, la Salle Pleyel et le Théâtre du Châtelet à Paris, le Mann Auditorium à Tel-Aviv, ou encore la Scala de Milan.
Il a partagé la scène en musique de chambre avec Marc Coppey, Gary Hoffman, Steven Isserlis, Josiane Marfurt, Jeremy Menuhin, Kun Woo Paik, Michel Portal, Viktoria Postnikova, Michael Rudy.
Son engagement en faveur de la musique contemporaine est marqué par ses liens étroits avec de grands compositeurs comme Alfred Schnittke, Sofia Goubaïdoulina, Guiya Kancheli, Arvo Pärt ou Ian Venables.
Il consacre également du temps à l’interprétation de la musique traditionnelle d’Amérique latine, notamment avec le groupe instrumental Ambar, dont les enregistrements incluent El Diablo Suelto (Delos) et O voo da mosca (FHR). Récemment, le groupe a créé un concerto pour violon composé pour Sasha par Francisco Gonzalez avec l’Orchestre national de Colombie.
Sasha a étudié à l’école centrale de musique de Moscou, au Conservatoire de Moscou, au Conservatoire de Paris et au Royal College of Music de Londres.
Il est aujourd’hui professeur au Royal College of Music de Londres et à la Haute école de musique de Genève.
Annie Dutoit-Argerich est née en Suisse. Elle a étudié le latin et le grec et obtenu un baccalauréat en littérature comparée de l’Université de Princeton. Elle a ensuite obtenu une maîtrise en journalisme de l’Université de New York et un doctorat en philologie française et romane de l’Université de Columbia. Tout en poursuivant sa carrière universitaire, Annie s’est découverte une passion pour l’art performatif et travaille depuis comme actrice et récitatrice. Elle a interprété des œuvres de Milhaud, Liszt, Stravinsky, Cage, Prokofiev intégrant texte, performance et musique dans des salles internationales. Un enregistrement du Carnaval des Animaux de Saint-Saëns sur un texte de Francis Blanche, avec Antonio Pappano et Martha Argerich a été édité en septembre 2017 par Warner Classics. En juin 2019, elle a interprété le rôle du narrateur et du soldat dans « Les aventures de Histoire du soldat » de Michel Van Zele sous la direction de Charles Dutoit. Elle se produit en français, anglais et espagnol. Annie Dutoit-Argerich est l’hôte d’une nouvelle série produite par Arte ZDF et des productions BelAir intitulées « Concert privé ». Le premier épisode présentera Daniel Barenboim.
Le pianiste suisse Lionel Monnet obtient en 2003 une virtuosité avec « Distinction » dans la classe de Christian Favre à la Haute École de Musique de Lausanne. Il poursuit sa formation auprès de son mentor Abdel Rahman El Bacha à Paris. Il a également travaillé auprès de Manahem Pressler du « Beaux-Arts Trio de New York » et du Trio Wanderer de Paris.
Depuis 1999, il est le pianiste du Trio Nota Bene avec lequel il continue de se produire régulièrement sur la scène suisse et internationale.
Lionel Monnet remporte le 1er Prix du Concours International de Musique de Rotterdam, décroche le 1er Prix à l’unanimité du jury au 28ème Concours pour Trio Instrumental – Prix Géraldine Whittaker à Neuchâtel, se distingue en remportant le Prix Philippe Chaignat récompensant la qualité de sa prestation lors des Sommets Musicaux de Gstaad et s’adjuge le Prix du Public à l’édition 2009 du Prix Zulawski-Ville de Chamonix.
Lionel Monnet se produit sur la scène internationale en passant par le Festival International de Sion, le Concertgebouw d’Amsterdam, la Roque d’Anthéron, les Folles Journées de Nantes, Le Festival de Lubiana, Le Festival de Castres, Le Zermatt Music Festival, la Tonhalle de Zürich, le Festival de Bodrum, le Festival de Lubiana, le Zermatt Festival, le Jerusalem Music Center, le Museum de Tel Aviv, le Festival de Nice et en soliste avec l’Orchestre de Chambre de Lausanne, avec le KammerOrchester de Zürich, avec l’Orchestre des Concerts Européens.
Lionel Monnet se produit avec des artistes de renom tels que Tibor Varga, Renaud Capuçon, Svetlin Roussev, Fabio di Càsola, Malin Hartelius, Rachel Harnisch, Christoph Schiller, Shlomo Mintz, Nobuko Imai, Gérard Caussé, Pierre Amoyal, Ilya Gringolts, Blythe Teh Engström, Ophélie Gaillard, Svetlana Makarova, Quatuor Terpsycordes, Quatuor Sine Nomine, Edgar Moreau, Michel Dalberto, Brigitte Engerer, Fabio di Casola, Dany Bonvin ou encore Shmuel Ashkenasi.
Lionel Monnet est soutenu par la fondation Irène Dénéréaz, par le compositeur Henri Dutilleux et la « Swiss Global Artistic Foundation ».
Depuis 2011, il est professeur de piano au Conservatoire cantonal de musique du Valais. En juillet 2016, il est nommé professeur de piano et de musique de chambre à l’Académie internationale de Biarritz, Côte basque.
En janvier 2017, il est invité pour une tournée américaine au festival de New York, Philadelphie, Princeton… Cette même année, il est également jury de piano du Concours de « Musique Riviera » à Vevey.
Il est le pianiste du « Quinteto del Fuego » spécialisé dans la musique d’Astor Piazzolla.
Il est fondateur et directeur artistique de la salle de concert et du studio d’enregistrement « l’Espace Consonance » de Saxon en Suisse.
Lionel Monnet est représenté par les labels de disques suisse « Claves » et américain « Naxos ».
Loris Mittaz passe son enfance dans les montagnes valaisannes, à Chermignon. À l’âge de 8 ans, il apprend qu’une maladie va lui faire perdre la vue progressivement. Son handicap le contraindra à renoncer à plusieurs de ses activités favorites.
C’est alors qu’il se passionne pour la musique et le piano. Il se découvre une affinité spéciale avec cet instrument qui devient un moyen de transcender les obstacles, une source inépuisable de résilience et de créativité.
Son parcours, tout autant que sa musique, est une ode à la persévérance, une invitation chaleureuse à rencontrer son public dans une expérience authentique et bouleversante.
De formation classique (EJMA), Loris se produit avec différents projets depuis qu’il a 15 ans. Curieux musicalement, ses projets et collaborations musicales sont variés, allant du rap (Oxmo Puccino, Moodjo) à la musique électronique (Feder, Marieposa), en pensant par le rock psychédélique (The Doors Revival) ou encore la pop (Mia Oud).
Parallèlement, il explore les possibilités de la composition et se lance dans son projet musical personnel. Il est vite repéré et fait ses premiers pas en solo sur de belles scènes (Crans-Montana Classics, Autumn Festival Montreux) dès 2022.
Entre classique, jazz et musique contemporaine, sa musique est un voyage mélodieux, profond et coloré. Loris nous invite à embarquer avec lui, avec l’idée que tout un chacun puisse fermer les yeux et se faire le film de ce qu’il entend.
Après avoir obtenu son diplôme au Lipetsk College of Music, Alexander Naoumenko a poursuivi ses études au Moscow Tchaikovsky Conservatory sous la direction du prolifique ténor géorgien Zurab Sotkilava. Il a poursuivi sa formation au Moscow Opera Studio et a participé à des masterclasses avec des artistes célèbres tels qu’Alfredo Kraus, Renata Scotto, Renato Capecchi, Ernst Haefliger, Nancy Evans et Aldo Baldin.
Naoumenko a interprété des rôles importants, notamment Podholusin dans Les Noces au Théâtre Bolchoï, Alfredo dans La Traviata, Lensky dans Eugène Onéguine et Don Giovanni dans The Stone Guest au Moscow Conservatory, salle Bolchoï. En 1991, il fait ses débuts américains au War Memorial Opera House de San Francisco, dans le rôle de Platon Karataev dans Guerre et Paix, sous la direction de Valery Gergiev. Il a interprété le Dr. Caius (Falstaff) et Ladislav (The Two Widows) au English National Opera, Cavaradossi (Tosca) avec l’European Chamber Opera.
Actuellement, Alexander Naoumenko est coach vocal au prestigieux Royal Opera House de Londres, où il continue à transmettre ses vastes connaissances et son expérience à la nouvelle génération de chanteurs d’opéra.
Alex Barck is a German DJ, producer, and founding member of the influential collective Jazzanova. His rise to international recognition began in the late 1990s, when Jazzanova became known for its groundbreaking fusion of jazz, house, and hip-hop. As A&R for the Berlin-based label Sonar Kollektiv, he helped shape a catalogue of soulful pop and forward-thinking dance music that continues to inspire.
Barck started his DJ career in Berlin at Club Akbar Lounge and the legendary Delicious Doughnuts, eventually performing in top clubs around the world—Yellow in Tokyo, Zouk in Singapore, Trouw in Amsterdam, and Plastic People in London. He has shared the stage with heavyweights like François K., Gilles Peterson, and Carl Craig, earning a reputation for eclectic, sophisticated sets that traverse genres and borders.
A tastemaker as much as a performer, Barck has curated acclaimed compilations such as Secret Love and Computer Incarnations, and remains active on German radio and remix projects. In 2011, he teamed up with producer Christian Prommer to form Prommer & Barck, touring widely across Europe with their genre-blending sound.
Philip Sindy, originaire de Berlin, évolue artistiquement et personnellement entre plusieurs mondes. Après des études diplômantes de trompette en jazz et musiques actuelles à la Hochschule für Musik Hanns Eisler de Berlin, puis à la Royal Academy of Music de Londres, il s’est fait un nom en tant que soliste et accompagnateur dans des styles variés, allant de la pop et du jazz aux musiques du monde.
Son parcours artistique comprend des concerts et tournées avec des artistes tels que Barbara Schöneberger, Helene Fischer, Marcus Wiebusch, Kettcar, Patrice, Megaloh, Culcha Candela, Alvaro Soler, le Harry Connick Jr. Big Band, Kelly Rowland, Shaggy, Sugar Hill Gang, Thomas D, Estelle, Roy Ayers, Aloe Blacc, Nneka (entre autres). Il a également participé à des enregistrements avec Udo Lindenberg, Mousse T., Die Prinzen, Max Raabe, Max Herre, Joy Denalane, et bien d’autres. Philip Sindy intervient aussi régulièrement dans des productions télévisées et cinématographiques, aussi bien en live qu’en préproduction.
Au-delà des nombreux festivals en Allemagne, ses affinités avec l’Afrobeat et le Ghana Highlife l’ont mené aux quatre coins du monde — plus de 50 pays sur 6 continents. Parmi les moments forts : Glastonbury (Royaume-Uni), Metamorphose (Tokyo), North Sea Jazz (Pays-Bas), Creole Jazz (Cap-Vert), Festival de Jazz de Montréal (Canada), Sakifo (La Réunion), Couleur Café (Bruxelles/Belgique), Rock en Seine (Paris/France), Roskilde (Danemark), ainsi que plusieurs festivals WOMAD (Royaume-Uni, Sicile, Fuerteventura, Adélaïde-Australie, Nouvelle-Zélande), sans oublier le Brésil, les États-Unis, la Scandinavie, la Tanzanie, Israël, Dubaï… et bien d’autres encore.