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CÉSAR FRANCK
Quintette pour piano et cordes en fa mineur
LUDWIG VAN BEETHOVEN
Quatuor à cordes N° 7, op.59 N° 1, « Razumovsky »
Nicholas Angelich a la stature d’un maître. Sa connaissance du répertoire, son sens du phrasé comme la poésie de son jeu tiennent lieu d’exemples pour tous les musiciens. En compagnie du jeune Quatuor Ébène, le pianiste impose sa pensée formelle avec une œuvre cyclique bâtie comme une vaste cathédrale. Entre la clarté française et l’atmosphère wagnérienne, le Quintette pour piano et cordes en fa mineur de Franck s’enflamme avec ces jeunes musiciens.
Si le Quatuor Ébène s’est fait remarquer pour son goût de l’éclectisme et du mélange des genres, il n’a jamais délaissé le grand répertoire pour quatuor à cordes. On se souvient d’avoir découvert ces jeunes musiciens dans Haydn, Ravel ou Bartók, preuve que les jalons du genre sont la base des Ébènes. Le quatuor de Beethoven, joué en deuxième partie de concert, assoie déjà la réputation de ces musiciens comme les plus prometteurs de leur génération.