
Marie-Jo Valente & Sandra Güniat (c) Alpimages
Aujourd’hui, je vous emmène dans les coulisses du Festival des AMI·E·S.
La mission de l’association des Amis est de soutenir activement les programmes éducatifs et les grands projets artistiques du Festival. Ce soutien est essentiel au développement et à la pérennité de notre événement. Arrivée au Festival en 2022 en tant que Responsable de l’Association des Amis, telle la cheffe d’orchestre, je veille à l’harmonie de cette communauté vibrante composée de donateurs mélomanes. Mon rôle, est d’assurer une expérience harmonieuse et inoubliable pour nos membres tout au long de l’année, avec un accent particulier durant l’été à Verbier.
Le bureau et le desk d’accueil des Ami·e·s se trouvent dans les locaux de la billetterie, véritable centre névralgique du Festival. Dès le matin, je m’assure que chaque détail est pris en compte pour répondre aux besoins de nos membres : informations sur les concerts, réservations, questions logistiques et inscriptions aux événements dédiés, comme aujourd’hui, l’Assemblée générale annuelle dès 10h, suivie de la traditionnelle raclette. Ces rencontres leur permettent d’échanger, de partager leur passion pour la musique et de créer des liens durables.
Mais mon travail ne s’arrête pas là. La magie du Festival se manifeste aussi dans les moments de convivialité et de partage d’informations, notamment, les « dîners des artistes » organisés et offerts par nos généreux Ami·e·s, des instants précieux où musiciens et hôtes se retrouvent autour d’une table, partageant anecdotes et perspectives musicales.
En coordination avec les hôtes, je veille à chaque détail pour garantir une ambiance chaleureuse et propice aux échanges.Une telle mission ne peut être accomplie sans une équipe dévouée. Je suis heureuse de partager ces multiples tâches avec Sandra, Pauline et Iris, qui jouent un rôle crucial en gérant l’administration quotidienne, en assurant la liaison avec les Amis et en coordonnant les dîners.
Ainsi, jour après jour, nous contribuons à faire du Festival un espace de partage et de rencontre, où chaque note résonne d’une humanité vibrante. Nous espérons qu’avec le dévouement et l’engagement de notre petite équipe, la communauté des Amis vit pleinement cette célébration musicale, enrichie par des expériences uniques et des souvenirs inoubliables.
Rendez-nous visite au bureau des Ami·e·s et découvrez plus de notre passionnant quotidien !
Marie-Jo Valente
Responsable du développement, Les Amis
28.07 | 18:30 | Combins | Concert symphonique | Verbier Festival Chamber Orchestra / Pappano / Pletnev
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Le principal trait de mon caractère:
La générosité
Mon principal défaut:
L’impatience
Ma principale qualité:
Je suis un bon professeur
Mes héros dans la fiction:
Astérix
Mes héros dans la vie réelle:
Ma femme et mon agent
Ma nourriture et boisson préférées:
Ludies bouletten et un bon verre de Shiraz
Ce que je déteste par-dessus tout:
Le racisme
Le don de la nature que je voudrais avoir:
Voler comme un oiseau
Comment j’aimerais mourir:
Je ne veux pas mourir
Ma devise:
Profiter de chaque jour comme si c’était le dernier
Un compositeur avec lequel il entretient d’ailleurs un lien étroit, à tel point que le magazine américain Fanfare n’a pas hésité à écrire de lui qu’il était « Liszt réincarné », rien de moins ! Mais le récital de ce soir sera également l’occasion de donner vie à plusieurs autres de ses compositeurs de prédilection comme Brahms, Rachmaninoff ou encore Bach : « Ce que j’aime particulièrement en tant qu’interprète, c’est le fait de vivre sur le long terme avec des œuvres, et de me rendre compte des changements qui s’opèrent au fil du temps », confiait-il ainsi à Pianiste. Le Concerto pour piano N° 2 de Brahms, proposé le 29 juillet aux côtés du Verbier Festival Orchestra dirigé par Lahav Shani n’y échappe pas : « [Brahms a] toujours occupé une place particulière dans mes oreilles et dans mon cœur. Je me suis très vite connecté à [sa] musique, et j’y reviens donc naturellement : c’est un bon équilibre entre le cœur et l’intellect. Il s’inspire à la fois de la période classique, notamment de Beethoven, tout en s’inscrivant dans le romantisme. Ses œuvres sont empreintes de noblesse émotionnelle, mais savent surprendre par des moments de laisser-aller particulièrement touchants », expliquait-il encore à Diapason. Au-delà de ces deux soirées, la complicité avec Verbier ne s’arrêtera pas là et se poursuivra quelques kilomètres plus au Sud au Festival de La Roque d’Anthéron où Alexandre Kantorow se produira en effet le 05 août avec le Verbier Festival Chamber Orchestra en tournée, dirigé par Gábor Takács-Nagy, dans le Concerto pour piano « L’Égyptien » de Saint-Saëns. Et avec tous ces moments d’exception, ce sont bien des trésors au moins dignes du tombeau de Toutankhamon qu’Alexandre Kantorow réservent à ceux qui auront la chance d’y assister.
Anne Payot-Le Nabour
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Jean-Loui, 77 ans
Niklas Paschburg,
un musicien entre mer et montagne
S’il confesse une passion particulière pour l’eau et la couleur bleue, le pianiste, compositeur et producteur allemand Niklas Paschburg fait une entorse à son inclination en se laissant inspirer, à l’occasion de sa première venue à Verbier dans le cadre de UNLTD, par les monts valaisans, même si la montagne n’était jamais bien loin dans son dernier EP.
Comment définiriez-vous votre univers ?
Comme il s’agit de musique instrumentale, je suis avant tout centré sur le fait de créer des atmosphères avec, la plupart du temps, des images en tête que j’essaie de décrire. Mon style se nourrit des esthétiques avec lesquelles j’ai grandi, ambient, électronique, un petit peu de classique et même parfois l’influence de la pop. Contrairement à avant où tout était prévu, je m’autorise maintenant davantage à improviser, afin d’exprimer ce que je ressens sur le moment. Mon objectif est d’ailleurs que l’improvisation prenne de plus en plus le dessus car, depuis ce début d’année, je suis vraiment en phase de transition dans la manière de faire et publier ma musique. Les instruments que j’ai sur scène, en l’occurrence, à Verbier, un piano, un accordéon, quelques synthétiseurs et une drum machine, constituent désormais un point de départ pour aller vers autre chose.
Qu’apporte selon vous la configuration club telle qu’au Taratata ?
C’est très inspirant car cela permet vraiment de ressentir les vibrations du public. Je suis toujours curieux de voir la manière dont cela impacte le concert et reste ouvert en fonction de cette interaction justement. De par mes expériences passées, dans une configuration aussi intime, je sais que tout est possible.
Votre rapport à l’image vous a aussi amené à composer de la musique pour le cinéma…
Ma composition la plus récente a été pour le documentaire polonais Silent Trees, une histoire intense magnifiquement racontée sur des réfugiés kurdes essayant de gagner l’Europe. J’avais auparavant écrit pour un film français, Presque, autre très belle expérience, et je travaille actuellement à nouveau sur un documentaire qui devrait sortir en janvier prochain. La composition pour le cinéma est un chapitre récemment ouvert que j’adore.
S’il semble au premier abord différent, le processus au cinéma présente en fait des points communs avec mon travail habituel de composition car dans mes pièces, je suis aussi inspiré par les images, les choses que j’ai vues, si ce n’est que je suis libre de les choisir. La différence réside vraiment dans le fait que je doive me conformer à une histoire définie, le délai et que le travail se réalise en équipe car je suis sinon seul lorsque je compose. Mais jusqu’à présent, j’ai vraiment eu beaucoup de chance avec mes projets cinématographiques.
Propos recueillis par Anne Payot-Le Nabour
27.07 | 22:15 | Taratata | Niklas Paschburg
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Au-delà des difficultés, cette nouvelle édition témoigne des mesures requises pour faciliter la transition énergétique. Alors qu’elles en sont encore à leurs balbutiements, les énergies renouvelables continuent d’augmenter leur proportion dans les sources d’énergie mondiales, tandis que les investissements mondiaux dans les technologies liées à la transition énergétique progressent également, affichant un « nouveau record historique à 1,77 mille milliards de dollars en 2023 », selon Bloomberg New Energy Finance (BNEF). L’Agence internationale de l’énergie (AIE) prévoit que l’électrification contribuera à hauteur de 50 % à la production mondiale d’énergie d’ici 2030 et favorisera le développement des industries et des technologies adjacentes sur les dix prochaines années, créant ainsi des opportunités en termes d’investissement, d’emploi et d’activité des entreprises.
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