Ce site web utilise des cookies afin de vous offrir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations des cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lors de votre prochaine visite sur notre site web, et également nous aider à comprendre quelles sections du site web vous trouvez les plus intéressantes et les plus utiles.
Programme
FRANZ SCHUBERT
« An Sylvia » D. 891 N° 4 (orchestration A. Schmalcz)
« Des Fischers Liebesglück » D. 933 (orchestration A. Schmalcz)
« Im Abendrot » D. 799 (orchestration M. Reger)
« Wegweiser » D. 911 N° 20 (orchestration A. Webern)
« Tränenregen » D. 795 N° 10 (orchestration A. Webern)
WOLFGANG AMADEUS MOZART
Symphonie N° 41 en ut majeur K. 551 “Jupiter”
- Allegro vivace
- Andante cantabile
- Menuetto. Allegretto
- Molto allegro
- Verbier Festival Chamber Orchestra
- Lahav Shani direction, piano
- Matthias Goerne baryton
Ultime symphonie de Mozart, la Symphonie dite « Jupiter » – surnom dont on ignore l’origine – est l’œuvre d’un compositeur à l’apogée de son art. Mozart l’écrit dans un moment dramatique sur le plan matériel, mais d’une effervescence créatrice prodigieuse. Ce sont en effet trois symphonies qui voient le jour coup sur coup pendant l’été 1788 : la Symphonie 39 le 16 juin, la Symphonie 40 le 25 juillet, et 10 août, la Symphonie 41. D’architecture ample et équilibrée, la 41 décline tout à tour l’allégresse, la mélancolie, l’élégance. Elle s’achève sur un Final fugué stupéfiant. On a vu dans la « Jupiter » l’affirmation d’une victoire sur les épreuves. Elle s’écoute comme le testament symphonique de Mozart, fauché trois ans plus tard par la mort, le 5 décembre 1791.